4ème Festival de l’Auto – Branché sur plus de 16 000 visiteurs

À l’ère naissante des véhicules électriques, le Festival de l’Auto de Mâcon en s’ouvrant, pour sa quatrième édition, à la mobilité avec un grand « M », s’est connecté avec un public de plus de 16 000 âmes.  « Nous tablions sur 15 000 entrées, explique heureux David Cornu. C’est bien ! Les exposants ont joué le jeu avec de beaux stands et une clientèle de bonne qualité ! » Les absents ayant, dit-on, toujours tort, économiquement ce millésime remplit toutes ses promesses, et par la même occasion les carnets de commandes. La marque aux losanges, pour ne prendre qu’elle en exemple, repart après deux jours avec une vingtaine de contrats signés. Ventes, promesses de vente, contacts, « ceux qui ont bien préparé le Festival ont bien travaillé », ajoute David le président du Cap XV, organisateur de l’événement et dont l’équipe de bénévoles s’est fortement mobilisée et pleinement investie.

À l’heure des bilans, tout en se tournant d’ores et déjà vers l’avenir, la présence des bateaux avec Jean-Vital Deguisne en capitaine de la flotte, du département et de décathlon pour la mobilité douce, de la très belle exposition Monnet-Goyon, des Gars d’Harley, du stand des 72 heures de Pont-de-Vaux, de l’espace voitures de prestiges créatrices de rêves, etc… apportent non seulement une énorme plus-value à l’événement, mais appel à développement à dans 2 ans.

L’univers de l’automobile représentée dans sa globalité avec une forte empreinte électrique, et dans sa diversité (des marques) mais aussi des divers acteurs de la filière inscrivent définitivement Mâcon parmi les plus beaux salons régionaux de l’automobile. Un jour peut-être, en 2025 pourquoi pas, l’ensemble de l’offre du bassin mâconnais sera de la fête et du salon des bords de Saône.

Même l’art au travers des œuvres libres, plus déjantées et créatives les unes que les autres du sculpteur Abed Cherek illustre la qualité de la manifestation. Sans oublier en cerise sur le gâteau les braseros d’Henri de Almeida (plus d’une quinzaine ont trouvé propriétaire) et autres pergolas signées Serpag, ou la baignoire balnéo de chez Aubade ont apporté un supplément d’âmes à ce rendez-vous avant tout des quatre et deux roues.

Quid de la 5ème édition, certes il est trop tôt pour en parler, mais une certitude ça bouillonne déjà dans la tête de David Cornu et de celles de sa garde rapprochée, Aurélien Odjet, Chloé Guilhem, Jean-Pierre Genetier…

Textes et photos : Jean-Philippe AURAY